Depuis une semaine, la restructuration chez Carrefour fait les gros titres des journaux. Et pour cause. Dans le contexte de mutation profonde du très concurrentiel marché belge, l’enseigne semble chercher un format commercial viable depuis des années. En vain. Et l’histoire de se répéter : c’est le travailleur qui paie la facture. Pourtant, si les errements sont commerciaux, les actionnaires continuent à être rémunérés comme des princes chaque année.
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